Par Jean-Luc Kienge Kimbila
Grand Prêtre et Maître de l’Ordre Mondial de Melchisedeck et messager de Rabbouni Jesus-Christ.

Y a-t-il une vie après la mort ?

Mais la vérité est simple :
rien ne disparaît, rien ne s’efface, tout se transforme.

La question traverse les âges, les civilisations et les croyances : que devient l’âme lorsque s’éteint le souffle du corps ? Depuis les anciens temples d’Égypte jusqu’aux écoles de sagesse les plus modernes, l’humanité n’a cessé de chercher, d’interroger, de prier, d’espérer. Aujourd’hui, en tant que Grand Prêtre et Maître de l’Ordre Mondial de Melchisedeck, j’apporte une réflexion issue de la tradition, de l’expérience spirituelle et de la connaissance ésotérique.

La mort n’est pas une fin, mais une transition

Dans la sagesse melchisedeckienne, la mort n’est jamais considérée comme une disparition. Elle est une porte, un passage vers un plan plus subtil, plus vaste et plus lumineux. Le corps appartient à la terre, mais l’âme appartient à l’éternité. Quand le corps s’arrête, l’âme poursuit son voyage vers un niveau supérieur de conscience.

La mort n’est donc pas un effacement :
c’est un changement d’état, un retour vers la source dont nous provenons.

La conscience ne s’éteint pas

Les témoignages de milliers de personnes ayant vécu des expériences de mort imminente, les traditions spirituelles millénaires et les révélations sacrées convergent toutes vers une même vérité :
la conscience continue.

Elle se détache du corps, mais elle ne s’annule pas. Elle observe, ressent, se souvient. Elle évolue.

Le monde invisible n’est pas un mythe : il est simplement un plan inaccessible aux sens humains, mais accessible à l’esprit.

Le jugement n’est pas un tribunal, mais un miroir

Contrairement aux croyances qui entretiennent la peur, la tradition de Melchisedeck enseigne que l’après-vie n’est pas un tribunal où l’on nous punit.
C’est un miroir cosmique : l’âme y contemple ce qu’elle a construit, détruit, aimé, blessé ou réparé.

Nous ne sommes pas jugés par un être extérieur :
nous sommes confrontés à la vérité de nous-mêmes.

Que devient l’âme ensuite ?

Selon son niveau de lumière, son degré d’amour, son poids karmique et sa mission inachevée, l’âme peut :

  • monter vers les sphères supérieures
  • revenir sur Terre pour compléter son œuvre
  • rester dans le plan intermédiaire, le temps de comprendre et d’évoluer
  • se fondre dans la Source, lorsque sa mission terrestre est accomplie

Ainsi, la mort ouvre la voie à une continuité : le voyage ne s’arrête jamais.

Pourquoi cette question nous hante-t-elle ?

Parce que l’être humain ne craint pas la mort :
il craint l’oubli.

Il craint que ce qu’il a fait, ce qu’il a aimé, ce qu’il a construit ne serve à rien.

Mais la vérité est simple :
rien ne disparaît, rien ne s’efface, tout se transforme.

Chaque geste d’amour, chaque souffrance traversée, chaque acte de justice ou d’injustice laisse une trace dans le tissu cosmique.

Conclusion : Il y a plus que cette vie

Oui, il y a une vie après la mort.
Une vie plus vaste, plus pure, plus vraie que ce que nous voyons ici-bas.

La Terre n’est qu’une école.
Le corps n’est qu’un vêtement.
La mort n’est qu’une porte.

Et derrière cette porte, l’âme retrouve sa véritable nature :
la lumière éternelle.

Que celui qui a des oreilles entende. Que celui qui a des yeux voie.
La vie ne finit jamais — elle se transforme.

Par Jean-Luc Kienge Kimbila
Grand Prêtre et Maître de l’Ordre Mondial de Melchisedeck