Par le G.M Jean-Luc Kienge
Dans un contexte politique tendu et une crise sécuritaire persistante, moi, le président de la Nouvelle Société Civile du Kongo (NSCK) et Grand Maître de l’Ordre Mondial de Melchisedeck, je lance un nouvel appel pressant au Président Félix Tshisekedi de convoquer sans délai le dialogue inclusif proposé par la CENCO et l’ECC, sous peine d’exposer le pays et lson régime à des risques majeurs d’instabilité dans le Grand Katanga.
1. Un Congo au bord d’une nouvelle bascule ?
Alors que les tensions politiques, militaires et sociales s’accumulent, plusieurs acteurs de la société civile estiment que les mécanismes institutionnels actuels ne suffisent plus à contenir les fractures nationales.
Face à cette réalité, la NSCK insiste :
seul un dialogue inclusif, national et sincère peut éviter au pays un chaos comparable à certains scénarios de fiction… ou de l’histoire régionale récente.
2. L’avertissement : “Il peut être trop tard pour le régime”
Dans sa prise de position, le président de la NSCK évoque un risque politique clair :
lorsqu’un pouvoir refuse trop longtemps d’ouvrir la voie du dialogue, il se fragilise lui-même.
L’avertissement est direct :
– plus le gouvernement repousse les discussions proposées par la CENCO et l’ECC,
– plus il s’expose à une perte de contrôle sur les dynamiques politiques et sociales du pays.
3. Le parallèle avec la série : un avertissement symbolique
Le président de la NSCK établit un parallèle avec une série fictionnelle, dans laquelle une rébellion pourrait prendre le pouvoir en 7 jours.
Ce n’est pas une prédiction, mais une métaphore politique, une manière de rappeler que :
- lorsqu’un État laisse croître les frustrations,
- lorsque les institutions perdent leur crédibilité,
- et lorsqu’aucune fenêtre de dialogue n’est ouverte,
alors des dérapages rapides, imprévisibles, et incontrôlables peuvent survenir.
L’idée n’est pas d’annoncer une insurrection, mais d’illustrer la vitesse à laquelle un système fragile peut s’effondrer lorsqu’il ne s’ajuste pas à temps.
4. Un dialogue CENCO–ECC : la seule voie durable ?
Pour la NSCK, la solution se résume en un principe simple :
on ne répare pas un pays fracturé sans écouter toutes ses voix.
Le dialogue proposé par :
- la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO),
- et l’Église du Christ au Congo (ECC),
est présenté comme la seule dynamique capable de :
- retisser la cohésion nationale,
- désamorcer les frustrations,
- consolider la paix,
- et offrir à tous les acteurs politiques un espace d’expression équilibré.
5. Conclusion : une fenêtre étroite, mais encore ouverte
L’appel du président de la NSCK est tranchant :
le temps presse.
Le Congo dispose encore d’une opportunité pour éviter une crise profonde, mais cette opportunité se rétrécit chaque jour.
Le message adressé au Président Félix Tshisekedi est donc clair :
avant que cela ne soit trop tard, convoquer le dialogue inclusif n’est pas seulement un acte politique – c’est un acte de survie nationale.
Par Jean-Luc Kienge le président de la Nouvelle Société Civile du Kongo et Grand Maître de l’Ordre Mondial de Melchisedeck
