Par Jean-Luc Kienge

À qui le tour ?

Déterminé à éradiquer, à exterminer, à liquider les officiers katangais, ce régime criminel vient de rayer un nom de plus sur sa liste noire. Cette fois, c’est le jeune général Ilunga Nkulu Alain, victime d’un lent empoisonnement, qui a rendu l’âme ce matin à la clinique Medpark.

Depuis des mois, il se battait non seulement contre la maladie, mais aussi contre une machine de mort orchestrée dans l’ombre. Sa disparition n’est pas un accident. Elle s’inscrit dans une stratégie cynique d’extermination ciblée.

Chers compatriotes, la mission des bourreaux au service de Félix Tshilombo s’accomplit avec une froideur glaçante : zigouiller un par un, les officiers d’origine katangaise.

Beaucoup croupissent encore dans les geôles de Tshilombo ou devrions-nous dire, abattoirs des « SERVICES SPÉCIAUX », ça vous rappelle encore quelque chose ? 🕵️‍♀️ … ils attendent leur tour, pendant que l’impunité règne.

À qui le tour ? Wait and see… mais surtout, n’oublions rien…😭😭

Pamela

Mutombo Faustin Katanga

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Lubumbashi – avril 2025. L’accusation est grave, directe, sans détours. Jean-Luc Kienge, président du Centre d’Intelligence Congolais et fondateur de la Fondation des Oubliés de la Planète, dénonce avec fermeté ce qu’il qualifie de “campagne d’élimination ciblée” contre des hauts gradés de l’armée congolaise d’origine katangaise, orchestrée — selon lui — par le régime de Félix Tshisekedi.

Un cri d’alarme venu du Sud

Depuis plusieurs mois, plusieurs généraux katangais sont morts dans des circonstances suspectes : maladies soudaines, malaises inexpliqués, disparitions sans suite. « Trop, c’est trop ! Ce n’est plus une coïncidence. Nous parlons ici d’assassinats politiques déguisés, d’empoisonnements, de marginalisation systématique d’une élite militaire qui dérange ce pouvoir tribal, clanique et autoritaire », déclare Jean-Luc Kienge, visiblement outré, dans un message adressé au président de la République.

Selon des sources militaires proches du dossier, au moins quatre officiers supérieurs d’origine katangaise auraient été victimes de “maladies rapides et létales” depuis janvier 2024, dans un silence total des autorités.

Une dérive ethnique du pouvoir ?

La Fondation des Oubliés de la Planète, qui milite pour la justice sociale et la défense des communautés marginalisées, accuse la présidence Tshisekedi d’exclure et de réprimer systématiquement les figures militaires issues de l’ex-Katanga, jugées politiquement “non fiables”. Jean-Luc Kienge va plus loin : « C’est une épuration silencieuse, menée au nom d’une paranoïa du pouvoir et d’un tribalisme d’État dangereux pour la cohésion nationale. »

Il dénonce également l’instrumentalisation de l’appareil sécuritaire pour régler des comptes personnels et politiques, notamment contre des figures proches de Moïse Katumbi, un potentiel rival pour 2028.

Un appel à la mobilisation

Jean-Luc Kienge appelle le peuple katangais et toutes les forces vives de la nation à se lever pacifiquement, mais fermement, pour dire NON à cette terreur d’État. Il demande l’ouverture immédiate d’une enquête internationale indépendante sur les décès suspects des officiers congolais, ainsi que des garanties pour la sécurité des autres généraux menacés.

Silence du gouvernement

Au moment de la publication, aucune réaction officielle n’avait été enregistrée de la présidence congolaise, ni du ministère de la Défense. L’entourage présidentiel, quant à lui, balaie ces accusations comme étant “infondées et motivées politiquement”.

Mais pour Jean-Luc Kienge, le combat ne fait que commencer : « Le régime Tshisekedi est en train de franchir une ligne rouge. Nous ne laisserons pas le sang des fils du Katanga couler sans justice. L’histoire retiendra les noms des bourreaux comme de ceux qui se sont tus. »