ALERTE : L’ANGOLA LÂCHE À SON TOUR FÉLIX TSHISEKEDI – LA FIN DU RÉGIME EST PROCHE
Par Jean-Luc Kienge
Après les États-Unis et la SADC, c’est désormais au tour de l’Angola d’abandonner Félix Tshisekedi. La tentative de réconciliation avec le président angolais João Lourenço s’est soldée par un échec cuisant, marquant ainsi un nouveau tournant dans l’isolement diplomatique du régime de Kinshasa.
Quand la quête de réconciliation se heurte aux affres de la corruption
Ce mercredi à Luanda, Félix Tshisekedi a tenté de rétablir des relations cordiales avec son homologue angolais. Mais au lieu d’un rapprochement, c’est un véritable désaveu qui a marqué cette rencontre.
Un rapport explosif, fruit de récentes investigations, a mis en lumière l’ampleur du scandale de corruption gangrenant les plus hauts rangs de l’armée congolaise. Selon ce document accablant, près de 722 millions de dollars américains auraient été détournés des caisses de l’État par des officiers supérieurs. Ces détournements ont été facilités par un manque flagrant de transparence et de contrôle dans la gestion des finances militaires.
Un système de corruption profondément enraciné
Ce vaste réseau de corruption affaiblit non seulement les capacités de défense du pays, mais compromet aussi son intégrité territoriale. Ces révélations choquantes ternissent encore davantage l’image du régime Tshisekedi, qui tente tant bien que mal de se maintenir au pouvoir.
Ces accusations ne sont pas seulement un coup dur pour la hiérarchie militaire congolaise, elles jettent aussi l’opprobre sur l’ensemble du continent africain. En tant que président en exercice de l’Union africaine, Félix Tshisekedi voit sa crédibilité s’effondrer sous le poids des scandales.
L’Angola hausse le ton et brise le silence international
Face à cette situation critique, João Lourenço a pris une décision sans précédent : il a annoncé qu’il lancerait un appel pressant à la communauté internationale afin qu’elle cesse d’apporter un soutien aveugle à un régime gangrené par la corruption et la mauvaise gouvernance.
Le message de Lourenço est clair : l’Afrique ne peut plus tolérer une telle impunité. Le pillage des ressources publiques par une minorité au détriment du peuple doit cesser.
Comme le dit un adage bien connu : “Qui dérobe à l’État dérobe à tous.”
La fin du régime Tshisekedi semble désormais inévitable. La question n’est plus si mais quand.
Le peuple congolais doit se préparer à tourner cette page sombre de son histoire et à réclamer un avenir meilleur, libéré de la corruption et du détournement des richesses nationales.