COMMUNIQUÉ OFFICIEL
Par Jean-Luc Kienge
Allô, allô, chers compatriotes de la RDC, l’heure est grave !
Comme promis, moi, Jean-Luc Kienge, militant des droits de l’homme, je vais vous exposer chaque semaine les dégâts causés par la famille Tshisekedi, notamment en matière de violations des droits de l’homme, de pillage et d’enrichissement illicite en RDC. Mais aujourd’hui, nous allons parler du pillage des mines du Grand Katanga.
Depuis plusieurs mois, des rumeurs persistantes et des dénonciations de plus en plus nombreuses pointent du doigt un pillage systématique des ressources du Katanga par des proches du pouvoir en place. La famille Tshisekedi et son entourage sont accusés de s’accaparer les richesses minières de cette région stratégique, entraînant une vive indignation au sein de la population locale et de la classe politique katangaise.
Le Katanga, connu pour être le poumon économique de la République Démocratique du Congo grâce à ses vastes réserves de cuivre et de cobalt, est aujourd’hui au cœur d’un vaste scandale. De nombreux observateurs et analystes accusent le clan présidentiel d’avoir mis en place un réseau opaque de sociétés-écrans et de prête-noms pour contrôler les plus grandes entreprises minières de la région.
Des contrats douteux, des rachats forcés de concessions et l’exclusion des acteurs économiques locaux alimentent un sentiment de révolte chez les populations katangaises, qui voient leurs ressources exploitées sans retombées bénéfiques pour leur développement.
Les voix s’élèvent pour dénoncer une véritable spoliation organisée sous couvert d’un pouvoir qui se dit pourtant engagé dans la lutte contre la corruption. Certains rapports non officiels font état de transferts massifs de fonds vers des comptes offshore, tandis que des proches du président Félix Tshisekedi multiplient les acquisitions de biens immobiliers à l’étranger.
L’ancien fief de Moïse Katumbi, autrefois un bastion de prospérité économique, subit désormais une paupérisation croissante, tandis que les infrastructures locales se détériorent. L’absence de réaction des autorités centrales face à ces accusations renforce l’idée d’une complicité étatique dans ce pillage organisé.
Face à cette situation, la tension monte au Katanga. Des manifestations sporadiques éclatent dans plusieurs villes, réclamant justice et une meilleure redistribution des richesses minières. Plusieurs leaders d’opinion katangais appellent à la résistance face à cette exploitation abusive et dénoncent une volonté délibérée d’appauvrir la région pour en affaiblir l’influence politique.
Certains analystes craignent même une résurgence des velléités indépendantistes, à l’image des anciennes luttes menées dans les années 1960 par Moïse Tshombe. L’absence de réponses claires du gouvernement central pourrait exacerber les frustrations et provoquer une instabilité aux conséquences imprévisibles.
Alors que la population katangaise réclame des comptes, le gouvernement Tshisekedi est face à un dilemme : faire la lumière sur ces allégations et sanctionner les coupables, ou continuer sur cette voie risquée qui pourrait coûter cher à l’unité nationale.
L’avenir du Katanga reste incertain, mais une chose est sûre : la population ne compte pas se taire face à ce qu’elle considère comme un véritable hold-up sur ses ressources.
Il est temps de chasser ces pilleurs de la pègre bruxelloise !
