Par la cellule de communication du centre d’Intelligence Congolais

Washington, le 15 mars 2025 – Jean-Luc Kienge, représentant et coordonnateur du Mouvement de la Libération Pacifique de la RDC, se rendra au département d’État américain pour exposer le plan machiavélique du président Félix Tshisekedi visant à spolier les richesses minières du pays. Son objectif : mettre fin à cette tentative de l’accord controversé entre les États-Unis et la RDC, qui, selon lui, ne sert qu’à renforcer le pouvoir dictatorial et le pillage organisé par le clan présidentiel.

Un accord minier sous haute tension

L’accord sur les minerais stratégiques entre les États-Unis et la RDC se retrouve aujourd’hui au centre d’un bras de fer politique et diplomatique. Le président Félix Tshisekedi, accusé d’avoir usurpé le pouvoir en 2018 et en 2023, se voit désormais confronté aux exigences strictes du département d’État américain.

Ce dernier réclame un engagement formel du président congolais en faveur d’une alternance démocratique en 2028, ainsi que des garanties sur la transparence du processus électoral avant toute signature définitive de l’accord minier. Washington affiche ainsi une position de prudence et de réserve face à Tshisekedi, dont les intentions sont jugées ambiguës.

Les États-Unis doutent des intentions de Tshisekedi

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a publiquement exprimé ses doutes quant à la sincérité du chef d’État congolais. Selon lui, Félix Tshisekedi cherche à utiliser cet accord comme un levier stratégique pour prolonger son règne indéfiniment, en violation des principes démocratiques et des aspirations du peuple congolais.

Ces soupçons sont renforcés par la politique annoncée par le président Donald Trump, qui, dès son retour au pouvoir, avait clairement affirmé qu’il ne tolérerait plus les régimes dictatoriaux en Afrique. Ainsi, toute coopération économique et minière avec la RDC devra être conditionnée à des engagements fermes sur la bonne gouvernance et la démocratie.

Une gestion américaine des fonds miniers pour contourner la corruption

En raison des multiples scandales de corruption et de détournements impliquant des hauts responsables congolais, Washington a décidé de prendre les devants. Si Tshisekedi accepte de quitter le pouvoir en 2028, alors l’accord minier pourra être signé, mais avec une particularité majeure : les fonds générés par cet accord ne transiteront pas par le gouvernement congolais.

Les États-Unis se chargeront directement de gérer ces ressources afin de garantir que les bénéfices reviennent au peuple congolais et non à une élite corrompue. Cette décision marque un tournant dans les relations entre les deux pays et pourrait affaiblir encore davantage le régime Tshisekedi, déjà fragilisé par une grogne populaire croissante.

Jean-Luc Kienge : Un plaidoyer pour la souveraineté et la justice

En se rendant aux États-Unis, Jean-Luc Kienge espère non seulement dénoncer les abus du régime en place, mais aussi plaider pour une alternative politique crédible en RDC. Son intervention vise à attirer l’attention de la communauté internationale sur la nécessité d’une transition pacifique, garantissant à la fois la souveraineté du pays et la protection de ses ressources naturelles.

Alors que la pression monte sur Félix Tshisekedi, l’issue de cette rencontre au département d’État pourrait sceller le sort de l’accord minier et accélérer les dynamiques de changement en RDC. Le peuple congolais, longtemps victime d’un système de prédation, attend désormais des actions concrètes pour restaurer la justice et le développement économique du pays en chassant Félix Tshisekedi du pouvoir et laisser la transition à la CENCO et l’ECC.